jeudi 28 novembre 2013

Entre les deux guerres deux monstres sacrés s’aiment…

theguitrysrivegauche2 En tant qu’inconditionnel de Sacha Guitry, je me devais d’aller voir cette pièce à la gloire de ce couple mythique du Paris de l’entre-deux guerre.

Au travers de cette pièce que Guitry aurait pu lui-même écrire, et vivre, on navigue avec délices entre les haut et les bas de la vie mondaine et amoureuse de ces deux dévoreurs de vie qu’étaient Yvonne Printemps et Sacha Guitry.
On retrouve la verve du maitre et la fraicheur de sa maitresse avec un plaisir non dissimulé. Les répliques assassines fusent et le rire est au bout de chacune des scènes. 

Les dialogues maitrisés d’Eric-Emmanuel Schmitt (a rappeler que j’ai loupé ‘Un homme trop facile’ avec Roland Giraud, Jérôme Anger, Julie Debazac), servent deux acteurs de prestiges, qui campent les deux héros de manières admirable.

La mise en scène de  Steve Suissa est magnifique, elle permet de parcourir ce rêve de Guitry.

Merci, pour cette création trop courte tant ces personnages sont attachant, et leur aventures passionnantes. En sortant on ne peut que regretter de ne pas les avoir connus.

jeudi 24 octobre 2013

C’est pas une grosse chaleur, mais plutôt une petite fraicheur

 

 

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Un mas dans le Luberon, un fonctionnaire au ministère de la culture est en villégiature avec son épouse et sa chaaarmante épouse, son adolescent de fils et sa plus très belle belle-mère.

Dans ce cadre bucolique en diable, la belle-famille viens squatter la bicoque. Là c’est le choc des cultures, d’un côté Hugo, Kant, Lamartine, de l’autre c’est StarAc, The Voice et consort.

Tous les oppose, mais cette promiscuité sera le déclencheur d’une série d’évènements, qui seront tout sauf reposant.  

Ça c’est le commercial, et l’affiche qui parle. En réalité on sent que la pièce montée par Laurent Ruquier en 2004, a pris un vilain coup dans l’aile. Malgré des acteurs qui sont pile-poil dans le rôle, on ne peut s’empêcher de trouver le temps long, La scène pastiche du maillon faible est très longue, les vannes sont attendues. On reconnait là le style bien acidulé de Ruquier.

Désolé j’accroche pas, mais pas du tout. De plus la salle est vide à pleurer 20 personnes ce soir c’est déprimant…

La seule remarque que je peux faire est que pour le prix que j’ai payé, j’en ai eue pour mes deniers.

Si j’ai l’occasion j’irais voir les deux autres créations de Ruquier.

‘Une heure de tranquillité’ avec Lucchini, et Michelle Bernier et Frédéric Diefenthal. A bientôt sur les plancher du théâtre Antoine.

En cadeau une vidéo de la pièce.

 

jeudi 17 octobre 2013

Un cou dans l'eau ou un coup de sangria

Ce soir je suis parti en Espagne...
En arrivant sur leur lieu de villégiature deux couples que tout oppose se retrouvent a partager une villa qui tient autant du hall d'aéroport que d'une tienda andalouse.  
C'est la que va se croiser et decroiser un flic, un truand des millions et des sacs étrangement identiques.

Les rêves et illusions des uns vont faire face au réalisme des autres.
Les rôles vont changer et s'échanger.

Sur cette comédie légère les acteurs en font des caisses. C'est presque trop. Je dis bien presque car à la longue on se dit que ces tirades trop appuyées font la couleur de cette piece.
La scène du collant est très bien pensé.
La mise en scène de Jean Luc Moreau fait comme d'habitude mouche.

Ce ne sera pas une grande pièce mais elle reste plaisante à voir.

Enfin une bonne soirée

 

Bonsoir a tous,

Ce soir je viens de passer une BONNE SOIREE.

Ca faisait longtemps que je ne me suis pas autant amusé.

J’ai rencontré une équipe de bras cassés, des blogueurs avec un grand B. Des gars, pas seulement, mais aussi des filles, bref un aéropage hétéroclite de personnes avec tous une même passion : le Web, les blogs et autres…

On a parlé boulot, politique, économie, politique, alcool, politique…

Autour d’un verre nous avons refais le monde, une nouvelle fois ces agapes ont apporté les résultats habituels.

Une migraine et une fabuleuse envie de pisser…

D’ailleurs je vais pas tarder a y aller.

Moi je dis qu’une seule chose rendez vous a la prochaine réunion….

vendredi 31 mai 2013

Je hais les gens qui discutent à voix basse

Lorsque je rentre chez moi (j'habite bordeaux) je prends le train.
Normalement c'est un moment de détente, sauf que là pas. Trois pipelettes discutent à voix basse.
C'est rageant car il font suffisamment de bruits pour m'empêcher de pioncer, mais pas assez pour que je puisse être indiscret et écouter la conversation.
...
A priori il s'agit dr representants de l'ordre, c'est un comble...

Bon on arrive à Bordeaux, je m'éloigne car en plus ils me collent la migraine.
Je les haient.

SLC, Salut les c….

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Hier je suis sorti, (encore encore dis le public …)

Je fait ce que je veux avec mes petits yeux.

Donc je disais, hier soir je me suis fait une grosse séance de revival.

Bon d’accord c’est peut être pas a la mode (quoi que) mais ca fait du bien.

Bon d’accord la moyenne d'âge du public avoisinait les 60 ans. A tout les coups ils ont du croire qu’une spectacle sur les sixties était pour le troisième âge.

Bon d’accord le spectacle a du mal a démarrer. La première partie est un peu poussive. Mais la suite est plus enlevée, voire même a la fin c’est carrément disco. 

 

Tout ca pour dire que ce spectacle de installé au Folies Bergère est une sorte de Grease (désolé pour la référence) a la française. On y retrouve la fraicheur du début des années 60, et l’atmosphère déjantée de mai 68 et autres spécialités de l’époque.
Les destins se croisent sur une kyrielle de tubes que nous connaissons tous…

Les décors et la mise en scène sont de qualité, Vocalement la troupe qui se produit sur scène est une véritable enchantement. Je reste irrémédiablement un fan des costumes avec les tenues début 60 (j’adddoooorrrre la minijupe, et le combi-short jaune avec des chaussettes blanches).

Allez y si vous êtes fans des sixties, sinon passez votre chemin y’a rien a voir.

NDLR :

Spécial dédicace au vieux beau devant moi dans la salle, j’espère que ‘ta nièce’ à été gentille plus tard dans la soirée, étant donnée que tu t’es plus occupé d’elle que du spectacle.

jeudi 30 mai 2013

Je parle pas le créole, mais depuis j’aimerais bien



Hier soir j’en avais assez des sempiternels brasseries, japoniaiseries, et autres asiastiqueries (non je ne commet pas de fautes d’ortografes).
J’ai cherché autre chose…

Pour passer cette envie de dépaysement je me suis tourné vers nos amis d’outre-mer.

J’ai découvert une jolie adresse au 122 boulevard Montparnasse : LA CREOLE.

Le service y est de qualité et le repas de même dans une agréable atmosphère créole (ca tombe bien…)

La soirée aurais pu être parfaite si… le colombo n’était pas froid à la réception du plat (oups).
 
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Sinon pour le reste c’est un plaisir une bonne adresse pour les gourmets. Pour ma part, j’ai hâte d’y retourner…

A bientôt

vendredi 24 mai 2013

Sans vices ni … rien du tout d’ailleurs


C’est d’un restaurant à touristes dont je vais vous parler ce soir. Parmi les nombreuses adresses disponibles sur Strasbourg, j’ai jeté (c’est le cas de le dire) mon dévolu sur cette gargotte.
Le cadre est typique (alsacien avec du bois partout genre forêt noire). Les tables sont petites (trop petites) et moi je suis gros (un peu trop gros) donc on a une grosse erreur de casting.
La carte est correcte sans plus, mais trop de plats à choisir.
Les plats sont copieux, mais mal présentés.
Les serveurs sont trop occupés pour discuter le bout de gras, c’est décevant. Le mien faisait tellement la gueule que j’ai failli aligner, deux euros pour son opérations des zygomatiques.
Bref ce fut un délice Rire à gorge déployée.
La seule bonne nouvelle fut la note qui fut la plus raisonnable des annonces de cette soirée.
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Pour les gourmands, pas les gourmets allez ‘Au Pont Saint Martin’ à Strasbourg c’est une adresse a suivre (prévoir les cachets d’alka-selzer)
A la prochaine…

Découvrez Strasbourg !!!

Aujourd’hui je suis à Strasbourg.

Ce qui est dommage c’est que je viens dans cette ville uniquement pour travailler. Je n’ai jamais le temps de me balader comme je le voudrais (a bon lecteur salut)…

D’un autre coté c’est aussi mon travail qui me permet de faire toute ces promenades gastro-touristiques.

Quand je viens dans cette ville j’ai mes quartiers dans ‘La petite France’. C’est le Strasbourg de carte postale, celui que l’on montre aux touristes. J’y peux rien c’est aussi le quartier ou se trouve des bon restos (on me changera jamais)

Comme a Paris on croise plus de touristes que d’indigènes. Mais lorsque l’on prends le temps de discuter avec les alsaciens, c’est la grosse surprise, ils sont chaleureux et sympathiques.

NDLR : J’évite de parler des alsaciennes car si ma femme tombe sur mes billets d’humeurs….

Pour moi qui viens du Sud  (et par tous les chemins …) c’est une claque aux idées reçues, non les gars du nord ne sont pas tristes au contraire certaines personnes n’engendrent pas la mélancolie.

Dans cette ville on vit bien, on mange bien (roooooootttttt pardon ca m’a échappé… ), et on boit bien (vive les winstub).

Alors toi qui a envie de découvrir autre chose que les clubs de vacances viens en alsace, te changer les idées… 
   
   
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‘La petite France ‘

vendredi 17 mai 2013

Sortie Théâtre : Une pavé dans la … gueule


Hier soir je me suis sorti … 
20130516_204939 Six habitants d’un immeuble, participent une réunion de copropriété qui se veut festive. 

On s’attend a du champagne, mais très vite on passe du beaujolais au vinaigre et du jus de fruits au vitriol.

On se régale à voir ces trois couples écorchés  de la vie, se massacrer à grand coups de réflexions vitriolées.
Les écouter se déchirer devient jubilatoire, ils mettent en avant nos propres travers, pour mieux les railler.

Je vous laisse imaginer la suite; ou plutôt venez la voir….
  
   

Cette nouvelle création de Didier Caron est un bijou. Moins efficace que certaines qui ont eue un énorme succès au théâtre Edouard VII (notamment). Mais cela reste un très bon divertissement.
Si vous venez sur Paris, venez voir cette pièce Rue des Mathurins, au théâtre Michel

mercredi 15 mai 2013

Découvrez Antinéa

 

C’est un petit établissement qui vous attend au 18 rue de Maitre Albert, dans le 5ème a Paris, .

Accueilli par un patron très sympathique, vous vous retrouvez dans une salle minuscule une douzaine de places au maximum.

L’endroit est plaisant.

La carte simple mais attrayante, la prise de commande est rapide et efficace (tout ce que j’aime).

Les plats s’enchainent et sont bien préparés présentés simplement et propre, je me régale.

Je discute avec le patron, du coup celui-ci m’offre une digestif (sympa …).

Bref je recommande cette adresse pour une repas tranquille, sans dépasser trop d’argent.

Allez consulter www.restaurantantinea.com

Manger une passion

Bonsoir,
Ce soir je débute ces billets d’humeur sur les restaurants, la bouffe et consort.
Pour moi c’est une passion, j’adore ‘bouffer’, pardon ‘manger’, déguster des nouveaux mets, découvrir de nouveaux gouts.
mais c’est pas seulement manger, c’est également cuisiner, c’est une truc qui me calme, c’est magique. Je me lance la dedans, concentré, attentif et à fond les ballons
Mon but avec ce billet c’est partager mes expériences, mes joies et mes loupés.
A plus…

Le complexe de la sardine

 

Ce matin, j’ai eu le plaisir de prendre une nouvelle fois le train pour aller travailler.

Normalement, les trois heures et des brouettes du voyage sont un moment de détente. Mais ce matin j’ai découvert ce que les sardines doivent ressentir d’être dans une boite avec peu de places pour respirer (je sais les sardines en boites ne respirent pas). Mais ce matin j’étouffais.

Est-ce que c’était le fait de reprendre le travail après un week-end de quinze jours, je ne sais pas…

Je n’arrive pas à piger cette propension qu’a la sardine humaine à se mettre naturellement en boite pour coexister avec des congénères (Comment ça s’écrit d’ailleurs ?).

Après c’est toujours la même chose, le métro, le boulot, amis pas le dodo (là je suis tous seul, heureusement sinon ma femme ne serait pas contente).

A plus les sardines je vais me coucher…

dimanche 10 février 2013

Ca y est, c'est décidé je me lance...

Depuis longtemps j'ai envie d'écrire ou du moins de tenter d'écrire puisque de nombreuse personnes pensent que pour moi le Français est une langue étrangère.

Je vais essayer de faire de ce moment une espace de défoulement, face a ce qui m'emmerde, et a ceux qui ...

Le but est d'améliorer mon style, faire dans la grogne stylée (oui je sais je râle). Mettre une virgule a mes argument et un point (dans la gueule) a ces gens dont le principal plaisir est de pourrir la vie de leur prochain (ou prochaine).

Je déclare la guerre a tout les cons, principalement les gros, sales, méchants, je me faire des dinettes des petits, et des grands, et je laisserais dans leur fange les pauvres qui ne méritent pas d'être sauvés.


A plus tard camarade...