jeudi 24 octobre 2013

C’est pas une grosse chaleur, mais plutôt une petite fraicheur

 

 

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Un mas dans le Luberon, un fonctionnaire au ministère de la culture est en villégiature avec son épouse et sa chaaarmante épouse, son adolescent de fils et sa plus très belle belle-mère.

Dans ce cadre bucolique en diable, la belle-famille viens squatter la bicoque. Là c’est le choc des cultures, d’un côté Hugo, Kant, Lamartine, de l’autre c’est StarAc, The Voice et consort.

Tous les oppose, mais cette promiscuité sera le déclencheur d’une série d’évènements, qui seront tout sauf reposant.  

Ça c’est le commercial, et l’affiche qui parle. En réalité on sent que la pièce montée par Laurent Ruquier en 2004, a pris un vilain coup dans l’aile. Malgré des acteurs qui sont pile-poil dans le rôle, on ne peut s’empêcher de trouver le temps long, La scène pastiche du maillon faible est très longue, les vannes sont attendues. On reconnait là le style bien acidulé de Ruquier.

Désolé j’accroche pas, mais pas du tout. De plus la salle est vide à pleurer 20 personnes ce soir c’est déprimant…

La seule remarque que je peux faire est que pour le prix que j’ai payé, j’en ai eue pour mes deniers.

Si j’ai l’occasion j’irais voir les deux autres créations de Ruquier.

‘Une heure de tranquillité’ avec Lucchini, et Michelle Bernier et Frédéric Diefenthal. A bientôt sur les plancher du théâtre Antoine.

En cadeau une vidéo de la pièce.

 

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