jeudi 6 novembre 2014

Bonsoir a tous, et salut aux autres

Bonsoir,

Cela fait bientôt un an que j'ai quitté Paris et mes turpitudes gastronomico-théatrales.

Mon patron m'a fait signe de rester à la maison, et ma femme aussi...

Bref tous sont très content ...

J'ai donc réintégré mes pénates bordelaises pour travailler dans un nouveau domaine, avec de nouvelles personnes.
Mais je n'ai pas oublié mes amis parisiens.

J'ai gardé le goût des billets doux, j'ai mis le temps mais je me consacre désormais a un autre blog :

 - Le long de la Garonne est un blog plus poétique, plus coup de gueule, moins pantruche et plus province.

Je vous dis tous a bientôt,

signé

le nain de jardin de retour a la maison,

jeudi 28 novembre 2013

Entre les deux guerres deux monstres sacrés s’aiment…

theguitrysrivegauche2 En tant qu’inconditionnel de Sacha Guitry, je me devais d’aller voir cette pièce à la gloire de ce couple mythique du Paris de l’entre-deux guerre.

Au travers de cette pièce que Guitry aurait pu lui-même écrire, et vivre, on navigue avec délices entre les haut et les bas de la vie mondaine et amoureuse de ces deux dévoreurs de vie qu’étaient Yvonne Printemps et Sacha Guitry.
On retrouve la verve du maitre et la fraicheur de sa maitresse avec un plaisir non dissimulé. Les répliques assassines fusent et le rire est au bout de chacune des scènes. 

Les dialogues maitrisés d’Eric-Emmanuel Schmitt (a rappeler que j’ai loupé ‘Un homme trop facile’ avec Roland Giraud, Jérôme Anger, Julie Debazac), servent deux acteurs de prestiges, qui campent les deux héros de manières admirable.

La mise en scène de  Steve Suissa est magnifique, elle permet de parcourir ce rêve de Guitry.

Merci, pour cette création trop courte tant ces personnages sont attachant, et leur aventures passionnantes. En sortant on ne peut que regretter de ne pas les avoir connus.

jeudi 24 octobre 2013

C’est pas une grosse chaleur, mais plutôt une petite fraicheur

 

 

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Un mas dans le Luberon, un fonctionnaire au ministère de la culture est en villégiature avec son épouse et sa chaaarmante épouse, son adolescent de fils et sa plus très belle belle-mère.

Dans ce cadre bucolique en diable, la belle-famille viens squatter la bicoque. Là c’est le choc des cultures, d’un côté Hugo, Kant, Lamartine, de l’autre c’est StarAc, The Voice et consort.

Tous les oppose, mais cette promiscuité sera le déclencheur d’une série d’évènements, qui seront tout sauf reposant.  

Ça c’est le commercial, et l’affiche qui parle. En réalité on sent que la pièce montée par Laurent Ruquier en 2004, a pris un vilain coup dans l’aile. Malgré des acteurs qui sont pile-poil dans le rôle, on ne peut s’empêcher de trouver le temps long, La scène pastiche du maillon faible est très longue, les vannes sont attendues. On reconnait là le style bien acidulé de Ruquier.

Désolé j’accroche pas, mais pas du tout. De plus la salle est vide à pleurer 20 personnes ce soir c’est déprimant…

La seule remarque que je peux faire est que pour le prix que j’ai payé, j’en ai eue pour mes deniers.

Si j’ai l’occasion j’irais voir les deux autres créations de Ruquier.

‘Une heure de tranquillité’ avec Lucchini, et Michelle Bernier et Frédéric Diefenthal. A bientôt sur les plancher du théâtre Antoine.

En cadeau une vidéo de la pièce.

 

jeudi 17 octobre 2013

Un cou dans l'eau ou un coup de sangria

Ce soir je suis parti en Espagne...
En arrivant sur leur lieu de villégiature deux couples que tout oppose se retrouvent a partager une villa qui tient autant du hall d'aéroport que d'une tienda andalouse.  
C'est la que va se croiser et decroiser un flic, un truand des millions et des sacs étrangement identiques.

Les rêves et illusions des uns vont faire face au réalisme des autres.
Les rôles vont changer et s'échanger.

Sur cette comédie légère les acteurs en font des caisses. C'est presque trop. Je dis bien presque car à la longue on se dit que ces tirades trop appuyées font la couleur de cette piece.
La scène du collant est très bien pensé.
La mise en scène de Jean Luc Moreau fait comme d'habitude mouche.

Ce ne sera pas une grande pièce mais elle reste plaisante à voir.

Enfin une bonne soirée

 

Bonsoir a tous,

Ce soir je viens de passer une BONNE SOIREE.

Ca faisait longtemps que je ne me suis pas autant amusé.

J’ai rencontré une équipe de bras cassés, des blogueurs avec un grand B. Des gars, pas seulement, mais aussi des filles, bref un aéropage hétéroclite de personnes avec tous une même passion : le Web, les blogs et autres…

On a parlé boulot, politique, économie, politique, alcool, politique…

Autour d’un verre nous avons refais le monde, une nouvelle fois ces agapes ont apporté les résultats habituels.

Une migraine et une fabuleuse envie de pisser…

D’ailleurs je vais pas tarder a y aller.

Moi je dis qu’une seule chose rendez vous a la prochaine réunion….

vendredi 31 mai 2013

Je hais les gens qui discutent à voix basse

Lorsque je rentre chez moi (j'habite bordeaux) je prends le train.
Normalement c'est un moment de détente, sauf que là pas. Trois pipelettes discutent à voix basse.
C'est rageant car il font suffisamment de bruits pour m'empêcher de pioncer, mais pas assez pour que je puisse être indiscret et écouter la conversation.
...
A priori il s'agit dr representants de l'ordre, c'est un comble...

Bon on arrive à Bordeaux, je m'éloigne car en plus ils me collent la migraine.
Je les haient.

SLC, Salut les c….

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Hier je suis sorti, (encore encore dis le public …)

Je fait ce que je veux avec mes petits yeux.

Donc je disais, hier soir je me suis fait une grosse séance de revival.

Bon d’accord c’est peut être pas a la mode (quoi que) mais ca fait du bien.

Bon d’accord la moyenne d'âge du public avoisinait les 60 ans. A tout les coups ils ont du croire qu’une spectacle sur les sixties était pour le troisième âge.

Bon d’accord le spectacle a du mal a démarrer. La première partie est un peu poussive. Mais la suite est plus enlevée, voire même a la fin c’est carrément disco. 

 

Tout ca pour dire que ce spectacle de installé au Folies Bergère est une sorte de Grease (désolé pour la référence) a la française. On y retrouve la fraicheur du début des années 60, et l’atmosphère déjantée de mai 68 et autres spécialités de l’époque.
Les destins se croisent sur une kyrielle de tubes que nous connaissons tous…

Les décors et la mise en scène sont de qualité, Vocalement la troupe qui se produit sur scène est une véritable enchantement. Je reste irrémédiablement un fan des costumes avec les tenues début 60 (j’adddoooorrrre la minijupe, et le combi-short jaune avec des chaussettes blanches).

Allez y si vous êtes fans des sixties, sinon passez votre chemin y’a rien a voir.

NDLR :

Spécial dédicace au vieux beau devant moi dans la salle, j’espère que ‘ta nièce’ à été gentille plus tard dans la soirée, étant donnée que tu t’es plus occupé d’elle que du spectacle.